Catégories : Cuckold candaulistes cocu Chasteté ceinture chasteté hom fem
il y a 2 ans
Christine avait besoin d’en parler à quelqu’un. De se confier. Ce fut à Anna, la collègue de travail avec qui elle déjeunait tous les midis.
- Il me trompe. Je crois bien qu’il me trompe.
- Ton mari ? Qu’est-ce qui te fait dire ça ?
- Plein de choses. Le temps qu’il passe maintenant, le matin, dans la salle de bains. Une heure. Au lieu de vingt minutes avant. Son smartphone. Qu’il ne quitte pas un seul instant des yeux. Même pour trente secondes. Les bouquins d’astrologie qui s’entassent sur sa table de nuit. Il y a encore quinze jours, c’est un truc qui le faisait ricaner, ça, l’astrologie.
- Mouais… Et au lit ?
Elle a haussé les épaules.
- Au lit, il y a encore, oui, mais c’est plus ce que c’était avant, mais alors là, plus du tout.
- Oui, oh, ben, t’es cocue, il y a pas photo. Et, j’ai pas de conseils à te donner, mais moi, à ta place, je laisserais pas s’installer la situation. Parce que pour en sortir après…
- C’est bien ce que je me dis aussi. Seulement je sais pas trop comment réagir. Tu ferais quoi, toi, à ma place ?
- J’y ai été à ta place avec Lionel. Ça faisait deux mois qu’on était mariés. Alors t’imagines quel choc ça a été. J’ai voulu le quitter. Il m’a suppliée de ne pas le faire. M’a juré ses grands dieux qu’il recommencerait pas. Jamais. J’ai fini par passer l’éponge. Sauf qu’à peine j’ai eu le dos tourné, il a remis ça. Fallait se rendre à l’évidence : c’était plus fort que lui. Ça lui passerait pas. J’ai envisagé le divorce. La mort dans l’âme. Parce que je tenais à lui. Qu’on avait fait plein de projets ensemble. Et que, pour le reste, on s’entendait super bien. Mais bon… je voyais pas d’autre solution. Ce qui n’était pas du tout l’avis de mon amie Sandrine. Ah, si qu’il y en avait une autre de solution ! Si ! Je connaissais pas les cages de chasteté ? Non. C’était quoi, ça ? Elle m’a expliqué. C’était un truc dans quoi on la lui enfermait, sa bite, au mec. Et on gardait la clef. Il pouvait plus aller avec personne. Ni se branler. Pas même vraiment bander. Et elle m’a fait voir sur Internet. J’ai fait ni une ni deux. Je m’en suis procuré une. Que j’ai posée, le soir même, près de son assiette. Ainsi que le dossier de divorce que j’avais constitué avec l’avocat. Et je lui ai laissé le choix. La cage ou le divorce. Ça a été la cage. Non sans arrière-pensées : à l’évidence il escomptait bien que je me lasserais rapidement. Qu’il réussirait à m’apitoyer. Et que cet accessoire serait rapidement remisé au fin fond d’un placard. Ce qui n’a pas été le cas. Ça va faire huit ans qu’il la porte.
- Et ça marche ?
- Un peu que ça marche. Il peut bien retourner le problème dans tous les sens, il est prisonnier. Et il dépend, pour son plaisir, entièrement de moi. Et de personne d’autre. Même pas de lui-même. C’est moi qui décide. Qui lui donne le droit. Ou pas. Du coup comment il est prévenant à mon égard. Attentif à moi. Amoureux. Bien plus amoureux qu’avant. Comment il prend soin de ne pas me mécontenter. S’il veut que je le laisse se soulager…
- C’est souvent ?
- Ça dépend. Mais pas tellement, non. En moyenne une fois par semaine. Moins, un mois, voire deux, si j’ai quelque chose à lui reprocher.
- Et avec toi ? Il y a jamais droit ?
- Si ! Bien sûr que si ! Mais ça reste exceptionnel. Faut qu’il l’ait vraiment mérité. Tu verrais cette reconnaissance alors dans ses yeux. Rien que pour ça… Non. Globalement il est pas à plaindre, tu sais. Il n’a plus à se battre en permanence contre toutes sortes de tentations. À culpabiliser quand il y a cédé. Moi, de mon côté, je n’ai plus à me ronger les sangs à longueur de temps en me demandant ce qu’il peut bien être en train de fabriquer. S’il lui a pas pris l’envie de sauter la petite stagiaire qui vient d’arriver. Ou la vendeuse de la parfumerie d’en face. Il a pas le choix : il faut qu’il reste sage. Même les pensées libidineuses, il a tout intérêt à les éviter, s’il veut pas que ça le rappelle douloureusement à l’ordre en bas. Toutes les femmes qui ont encagé leur mari te le diront : leur couple s’en est on ne peut mieux trouvé.
- T’en connais ?
- On est quelques-unes à se rencontrer de temps à autre. Pour discuter. Échanger nos avis. Nos expériences.
- Et elles les amènent, leurs maris ?
- Quelquefois. Ça dépend. Mais je te ferai signe, si tu veux, la prochaine fois qu’on se retrouve. Que tu voies comment ça se passe.
C’était pas de refus.
- Je viendrai, oui. Merci.
Ça a été le vendredi de la semaine suivante. Elles étaient trois. Sans les compter, Anna et elle. Il y avait une Magali, une petite femme brune d’une quarantaine d’années. Une Roxane, une rouquine d’à peu près le même âge et une Mélusine, une petite jeune d’une vingtaine d’années, l’air décidé, qui avait amené Damien, son copain, un blondinet qui est allé s’asseoir un peu à l’écart. Anna leur a exposé la situation.
- Bon, alors son problème à Christine, c’est qu’elle est cocue.
- Comme nous toutes.
- Comme toutes les femmes, en fait, si on y réfléchit bien.
- Et donc, elle va le mettre en cage.
- C’est ce que je lui ai conseillé, mais elle sait pas trop encore. Elle hésite.
Roxane s’est faite péremptoire.
- Ah non ! Non ! Faut pas hésiter. Faut foncer. Qu’est-ce tu risques ? Il te trompe : t’es en position de force. Suffit que tu restes ferme sur tes positions. Qu’à aucun moment tu ne donnes l’impression que tu vas reculer. C’est ça ou le divorce. À prendre ou à laisser. Il prendra. Parce qu’il t’aime au fond. Même s’il peut pas s’empêcher d’aller voir ailleurs. Parce qu’il t’aime, oui, peut-être, ou alors plutôt parce qu’il a pas du tout envie de renoncer à la petite vie rangée à laquelle il est habitué. Il prendra. Ça fait pas l’ombre d’un doute. Ils prennent tous quand on les met dos au mur.
Les autres ont corroboré. Toutes en chœur.
- Mais bien sûr ! Nous aussi, on doutait au début. On se disait que jamais il accepterait d’en passer par là. Et puis finalement…
- Non, et puis tu verras… Comment ils changent quand ils l’ont là-dedans ! Un vrai bonheur…
Mélusine, la petite jeune, elle, elle était d’avis qu’à tous les mecs il faudrait la leur enfermer, la bite. Cocues ou pas cocues.
- Ben oui, attendez ! Qu’on ait la paix ! Que ce soit nous qui décidions. Selon qu’on a envie ou pas. Non, parce qu’avec mon Damien, moi, là, avant c’était l’enfer. Il arrêtait pas de me pourchasser. Me fourrer. Il avait que ça en tête. Partout. Tout le temps. Me fourrer. C’est pas que je sois contre une bonne partie de jambes en l’air, non, bien au contraire, mais trop, c’est trop. On a aussi droit à notre tranquillité, nous, les femmes. Sans compter que c’est leur rendre sacrément service. Qu’ils apprennent à se dominer, c’est ce qui peut leur arriver de mieux. Non ? Vous n’êtes pas de mon avis ?
Elles l’étaient, si ! Toutes. Et elles y sont encore allées de leurs encouragements.
- Vas-y, Christine ! Vas-y ! Tu le regretteras pas, tu verras !
Elle avait bien envie de se laisser tenter, oui, seulement…
- Seulement quoi ?
- C’est pour la lui mettre, la cage. J’ai peur de pas savoir.
- Oh, si c’est que ça…
- Oui, c’est pas bien compliqué, tu vas voir…
Et Mélusine a fait signe à son Damien d’approcher. Elle lui a fait tomber le pantalon sur les chevilles. Le boxer.
- Tu vois ? Tu vois comment c’est fait, une cage ?
Oui. Elle voyait. Et elle savait. Elle avait regardé sur Internet.
- Bon, alors un tour de clef…
Et la queue du type a surgi comme un diable de sa boîte. S’est aussitôt élancée, s’est dressée toute droite. Elles ont éclaté de rire. En chœur.
- Tous les mêmes !
Mélusine lui a donné une petite chiquenaude dessus.
- C’est son jour de chance. Parce que c’était pas prévu, mais je vais le laisser décharger. Sinon, pour te montrer comment la remettre dedans, ce sera mission impossible. Allez, vas-y, toi !
Il ne se l’est pas fait répéter deux fois. Deux ou trois va-et-vient et il a giclé, dans un grand râle, la tête renversée en arrière. Roxane a constaté.
- Ça pressait, dis donc !
- Oui, oh, ben, au bout de trois semaines…
- Trois semaines ! T’y vas fort, dis donc !
- J’avais mes raisons. Bon, mais allez, on remballe. Regarde bien comment je fais, Christine… C’est pas compliqué, tu vas voir !
C’était pas compliqué, non, mais c’était pas simple non plus. Parce que, chaque fois qu’elle s’en emparait pour la faire rentrer, elle se remettait à grimper, sa queue.
- Putain, mais t’arrêtes, oui !
Non, il y avait pas moyen. Il y arrivait pas.
- Bon, mais la solution…
Elle l’a rageusement branlé. Et il s’est encore répandu. Presque tout de suite.
- Normalement, maintenant…
Elle la lui a rapidement enfournée dedans. A donné un tour de clef.
- Là ! Ça y est ! La voilà bien au chaud dans son petit chez elle. T’as vu ? Tu sauras refaire ?
- Oh, oui ! Oui. Sans problème.
Quand elle est rentrée, son mari était en train de faire son sac.
- T’oublies rien ? T’es sûr ?
- Je crois pas, non.
Il a pris un air accablé.
- Quelle purge, ce week-end de travail !
- Tant que ça ?
- T’as même pas idée…
- Annule ! Trouve un prétexte…
- Si seulement je pouvais…
Elle s’est jetée à l’eau.
- Ben non, tu peux pas. T’as l’autre à aller sauter…
Il s’est brusquement retourné, les yeux écarquillés.
- Quoi ?
- Tu sais très bien ce que je veux dire…
- Mais non, mais…
- Arrête de me prendre pour une imbécile, Alexandre, s’il te plaît ! Tu vas pas en profiter pour aller la baiser peut-être ?
- Mais jamais de la vie enfin ! Qui ça ? Qu’est-ce que c’est que cette histoire ?
Elle lui a brandi la cage de chasteté sous le nez.
- Tu peux mettre ça alors ?
- Qu’est-ce que ? Non, mais ça va pas ! T’es vraiment pas bien, hein !
- En quoi ça te pose problème, si t’as pas l’intention de tirer ton coup ?
- Sûrement que je vais m’enfourner là-dedans ! Non, mais et puis quoi encore !
- Comme tu voudras… Mais tu t’étonneras pas alors…
- De quoi ?
- De la pagaille que je vais vous mettre, à ta pétasse et à toi. Parce que je vais appeler son mari, du coup. Et tout lui raconter.
Il est tombé dans le piège. Elle avait vu juste. C’était bien une collègue de boulot.
- Tu vas pas faire ça ?
- Ben, tiens ! Je vais me gêner…
Au téléphone, Anna était ravie pour elle.
- Et il s’est laissé harnacher, j’suis sûre !
- Bingo ! Il a bien un peu renâclé, mais au final, oui ! Il avait le couteau sous la gorge, faut dire ! T’aurais vu comment il était terrorisé à l’idée que je puisse balancer un coup de pied dans la fourmilière. Sauf que j’aurais été bien en peine de le faire, vu que j’y suis allée au flan et que j’ai pas la moindre idée de laquelle de ses collègues il peut bien s’agir.
- Il en a beaucoup ?
- Une quarantaine, ils sont là-dedans. Dont les trois quarts de femmes.
- Vu sous cet angle… Bon, mais tu sais pas ? Passe ! Viens dîner puisque t’es toute seule ! On en parlera de vive voix. Et tu feras la connaissance de mon mari comme ça.
Son mari, c’était Lionel. Un bel homme aux yeux clairs, à la carrure athlétique, qui l’a saluée d’un air un peu gêné.
- Ben oui, forcément ! Il sait que t’es au courant. Et comme en plus, là, je la lui ai mise…
C’est lui qui nous a servi l’apéritif. Elle a attendu qu’il ait fini. Qu’il soit venu s’installer en face de nous, sur le fauteuil.
- T’as fait le plus dur. C’est dans la poche : il y a un précédent. Et quand il y a eu un précédent… Ce qu’il faudrait maintenant, pour que tu puisses contrôler complètement la situation, c’est que tu saches qui c’est, cette collègue.
- Oui, mais ça…
- Oh, c’est faisable. Je peux mettre Mélusine sur le coup, si tu veux.
- Mélusine ? Comment ça, Mélusine ?
- C’est une véritable fouine, elle ! Tu lui donnes une photo de ton mari, l’adresse de sa boîte et je te parie ce que tu veux que dans deux jours t’as ta réponse.
- Oui, oh, ben allez alors !
- Je m’en occupe. Elle adore ça, elle, en plus jouer les Sherlock Holmes.
Ils sont passés à table.
- Le danger maintenant, c’est que tu te sentes trop sûre de toi. Que tu considères que c’est définitivement gagné. Parce qu’ils sont retors, les mecs. Tous. Ils cherchent un moyen de passer, d’une façon ou d’une autre, à travers les mailles du filet. Lui, là, par exemple, tu sais pas ce qu’il m’a fait, il y a deux ans ?
Et elle a donné une petite tape sur la main de son mari.
- Il m’a discrètement subtilisé la clef. Dont il est allé, tout aussi discrètement, se faire faire un double. Ni vu ni connu. Et pendant près de trois semaines, il s’est éclaté tant et plus derrière mon dos. Seulement je peux te dire que le jour où j’ai découvert le pot-aux-roses, un sacré sale quart d’heure il a passé. C’est pas vrai, toi ?
Il a fait signe que oui. Oui.
- C’est pour ça… Il faut rester constamment sur le qui-vive. Ne jamais baisser la garde. Et se dire que, s’il se présente une occasion, ils la saisiront. Ils la saisiront forcément.
Elle a souri.
- À ton avis, ça se passe comment là-bas, lui, avec elle ?
- Je me demande.
- Ou bien il lui a dit que tu la lui avais emprisonnée…
- Ce qui, le connaissant, m’étonnerait énormément…
- Ou bien il s’est défilé. Il a inventé un prétexte pour ne pas se retrouver tout seul avec.
- Je croirais plutôt ça, oui.
- Dans un cas comme dans l’autre, au retour, ça va le démanger…
- Oui, oh, ben alors ça, on verra…
Quand il est rentré, le dimanche soir, il était prêt à passer sous les fourches caudines.
- J’ai déconné, c’est vrai ! Mais bon, c’était en train de s’effilocher, cette histoire. On était justement en train de mettre un terme.
- Ben, voyons ! Comme par hasard…
- Si, c’est vrai, hein ! J’te jure !
Elle a haussé les épaules.
- Quand bien même ce serait vrai, ça change rien au fait que tu l’as fait. Que, pendant des mois et des mois, tu m’as trompée.
Il n’a pas nié. C’était donc bien une liaison. Qui durait. Qui s’était éternisée. Il a voulu se faire câlin.
- Mais c’est toi que j’aime !
Elle l’a sèchement repoussé.
- Ah, non ! Ce serait trop facile. N’importe comment…
- N’importe comment, quoi ?
- Il va falloir prendre des dispositions.
- Des dispositions ? Pour quoi faire ? Quelles dispositions ?
- Tu verras bien.
Il a soupiré.
- Et pour le truc, là ?
- Tu crois quand même pas que je vais te l’enlever !
- Mais au boulot…
- Justement, au boulot. Il y a ta pouffiasse au boulot. Et il y a une pause à midi, au boulot. Et il y a des hôtels dans le coin au boulot.
- Mais c’est fini avec elle, j’te dis !
- Tu le dis, oui. Mais je suis pas obligée de te croire pour autant…
Il a fini par la poser, le lendemain, en sortant de table, la question qui lui brûlait les lèvres.
- Tu… tu comptes demander le divorce ?
- Je sais pas encore. Je réfléchis.
- Et pour Florence… son mari… Tu vas lui dire ?
Ah, tiens, donc, elle s’appelait Florence.
- Je sais pas non plus. Je vais voir. Ça va dépendre… De plein de choses.
Dans le lit, après, il est venu se blottir amoureusement contre elle. A cherché à la caresser.
- Ah, fiche-moi la paix !
- Tu veux pas ?
- Sûrement pas, non ! Après ce que tu m’as fait…
Il n’a pas insisté.
- Et je peux te dire que c’est pas demain la veille que tu vas y avoir droit.
Il s’est tourné, retourné encore et encore dans le lit.
- Arrête de gigoter comme ça ! Tu m’empêches de dormir.
- C’est que…
Il s’est calmé. Cinq minutes. Et c’est reparti de plus belle.
- Bon, cette fois, ça suffit !
Elle a allumé, est allée chercher la clef, a ouvert la cage.
- Branle-toi ! Une bonne fois pour toutes. Qu’on ait enfin la paix !
Il s’est aussitôt empoigné, frénétiquement élancé à la conquête de son plaisir. Cinq ou six va-et-vient et il a giclé. Dans un grand râle.
- Là ! Tu te nettoies, je te la remballe. Et on dort !
Ce qui n’a pas du tout étonné Anna.
- Ils savent pas trop gérer au début. Ils ont gardé le réflexe de bander chaque fois qu’ils croisent une fille à leur goût. Seulement c’est entravé maintenant. Ça vient systématiquement buter. Ça peut pas se déployer. Ce qui les met dans un état d’excitation frustrée très particulier. Et faut qu’ils déchargent. Dans les plus brefs délais. C’est impératif. C’est vital. Après, avec l’expérience, ils apprennent. À se maîtriser. À contrôler leurs érections. À jouer avec le temps. Et avec leur libido. Cela étant, tu as très bien réagi. Il ne fallait surtout pas, dans le contexte actuel, que tu acceptes d’avoir un rapport avec lui. Tu lui as consenti du plaisir. Tout seul. Devant toi. C’est un grand pas en avant. Un de plus.
Mélusine avait effectivement mené l’enquête.
- Bon, mais accroche-toi ! Parce que tu risques de pas être déçue du voyage. Alors, d’abord : Florence. C’est la secrétaire du patron. Qu’est mariée. Et qui couche avec ton mari. Elle couche aussi, en prime, avec le patron. Lequel ne sait pas qu’elle couche avec ton mari. Tu suis ? Tu vois le sac de nœuds ? Alors, dans un contexte pareil, tu penses bien qu’il a pas du tout envie de te voir jeter un pavé dans la mare. Qu’il est prêt à tout pour t’en empêcher. T’imagines les vagues que ça ferait ? Personne n’en sortirait indemne. Bon, mais c’est pas tout. Parce que, parallèlement, ton cher et tendre époux entretient une relation extrêmement étroite avec la femme d’un notaire délaissée par son mari et qui a, apparemment, beaucoup de temps libre à consacrer au tien. Il s’intéresserait aussi de très très près à une Danoise, lectrice à l’Université, dont le conjoint est resté à Copenhague. En ce qui la concerne elle, il n’est pas absolument certain qu’ils soient passés à l’acte, mais c’est en très bonne voie. Si ce n’est pas fait, c’est imminent.
- Ça ne se fera pas. Parce que je peux vous dire que je suis pas près de la lui retirer, sa cage. Il va se la garder un sacré moment. Bon, mais c’est tout ?
- À ma connaissance, oui. Mais on ne peut pas absolument exclure qu’il y en ait d’autres. Ou qu’il y en ait eu d’autres.
- Le salaud ! Non, mais quel salaud ! Ah, ça, il va me le payer. Et cher. Très cher.
C’est Anna qui a posé la question.
- Tu vas faire quoi ?
- Le cocufier, tiens ! Chacun son tour. Non, parce que qu’est-ce qu’il croit ? Moi aussi, j’ai été tentée. Moi aussi, il y a des types dont j’ai eu envie. J’ai toujours résisté. Jamais, au grand jamais, je n’ai donné le moindre coup de canif dans le contrat. Et lui, pendant ce temps-là… Non, mais attends ! Il a pas fait le plus dur. Comment je vais m’éclater ! Je vais me trouver un petit jeune plein de sève qui ne demandera qu’à me faire grimper aux rideaux. Et que je mettrai sur les rotules.
Si elle voulait, elle avait ce qu’il lui fallait, Mélusine.
-
Damien ?
-
Ben oui, Damien. J’ai rien à lui reprocher à lui. Strictement rien. Sauf qu’il pense qu’à ça. Qu’à donner des coups de queue. Ça devrait faire ton bonheur. Et le mien. Il me lâchera enfin un peu. Parce que, même qu’il soit en cage, il arrête pas d’être après moi. De me supplier. Et quand est-ce qu’il va y avoir droit ? Oh, s’il te plaît ! S’il te plaît ! C’est dix fois par jour. Trente fois. C’est d’un lourd ! Bon, mais qu’il aille le tirer ailleurs son coup. Avec toi, pourquoi pas ? Au moins je pourrai garder un œil sur ce qui se passe…
-
Tu m’avais pas dit ça, Alexandre…
Il a levé sur elle un regard circonspect.
- Je t’avais pas dit quoi ?
- Que tu t’étais lancé dans l’étude des langues étrangères. Le danois, plus précisément.
Il a vaguement bredouillé quelque chose.
- C’est comme le droit. T’as repris des études de droit, à ce qu’il paraît… Oh, mais t’as raison. On n’a jamais trop de cordes à son arc. C’est toujours très utile professionnellement. Et dans ce domaine-là, tu prends manifestement les choses très à cœur. Au point de faire gracieusement des heures supplémentaires en compagnie de la secrétaire du patron. S’il savait ça ! S’il savait que tu t’investis à ce point-là dans l’entreprise, tu monterais vite en grade. Oh, mais on peut le mettre au courant, hein, c’est pas bien compliqué…
Il lui a jeté un regard implorant.
- Christine…
- Oui, t’as raison ! On va pas lui dire. Pas maintenant. Peut-être plus tard, on verra. D’autant que… Elle a posé la main sur sa cage de chasteté. A soupesé. Relâché.
- Tu n’es plus guère en état de poursuivre tes activités. Et, du coup, ça va être à moi de payer de ma personne.
- Comment ça ?
- Tu verras bien ! Oh, mais je te tiendrai au courant, t’inquiète pas !
Mélusine lui a remis Damien.
- Je te le confie.
Et la clef qui allait avec.
- Bon, ben amusez-vous bien !
Il s’est installé à côté d’elle. A bouclé sa ceinture.
- Tu veux que je te délivre ?
Ah, ça, c’était pas de refus. Elle la lui a sortie.
- Désolé, mais je… je peux pas. J’en peux plus.
Et il s’est empoigné. Il s’est élancé vers son plaisir. Qu’il a très rapidement atteint.
- Oh, c’est bon ! Putain, que c’est bon !
Il a recommencé. Presque aussitôt. Tout en conduisant, elle le regardait faire.
- Te vide pas trop, hein ! Gardes-en pour moi !
- Oh, mais il y en aura ! Il y en aura !
Il y en a eu. Trois fois dans la chambre de l’hôtel. Trois fois qui l’ont comblée. Trois fois qui l’ont fait gémir. Hurler. Rugir. Trois fois qui l’ont fait se blottir dans les bras de Damien, repue, ivre de reconnaissance.
Quand elle est rentrée, il était minuit. Plus de minuit.
- T’étais passée où ? J’étais mort d’inquiétude, moi !
- Je baisais.
- Tu…
- Je baisais, oui. Je me faisais sauter. Tringler. Défoncer. Comment faut te le dire ? N’empêche qu’est-ce que ça fait du bien une bonne partie de jambes en l’air, tu peux pas savoir ! Enfin si, tu sais. Ou du moins, tu savais. Parce que je peux te dire que t’es pas près d’y remettre le nez. Oh, ben oui, attends ! T’as pris de l’avance sur moi. Plein d’avance. Avec toutes ces nanas que tu te tapes depuis des années. Alors faut d’abord que je rattrape mon retard. Après, on verra.
Elle s’est déshabillée. Est restée quelques instants entièrement nue au pied du lit avant de se glisser dedans à ses côtés.
- Dors bien ! Passe une bonne nuit.
Le lendemain était un dimanche. Il a tourné toute la matinée en rond avant de finir par venir se planter devant elle.
- C’était vrai ?
- Quoi donc ?
- Pour ce que tu m’as dit hier soir.
- Que je me suis fait tirer ? Évidemment que c’est vrai. Pourquoi j’irais te raconter des salades ?
- C’est qui ? ‒ Un petit jeune. Tout à fait charmant. Et qu’a sacrément du répondant. Je te le ferai connaître, si tu veux. Il te plaira, je suis sûre.
Elle est allée se faire couler un café.
- Tu vois, la différence entre nous. C’est que moi, je joue cartes sur table. Je fais pas mes petits coups en douce, par-derrière.
Anna et Mélusine voulaient voir à quoi il ressemblait, son mari à Christine.
- Un phénomène pareil ! Amène-le à la réunion, le prochain coup.
- Ou bien passez à la maison, vous, si vous voulez.
Ce qu’elles ont fait.
- Ah, c’est vous, les filles ! Entrez ! Vous connaissez pas Alexandre ?
- Non. Enchantées…
- Moi aussi.
- Venez ! On va aller sur la terrasse. On sera mieux. Viens, toi aussi !
À peine le temps de s’installer et Anna a attaqué.
- Vous savez pas ce qu’il m’a encore fait, Lionel ? Que je vous raconte ! Figurez-vous qu’il a encore essayé de s’extirper de sa cage derrière mon dos.
- Encore !
- Encore, oui ! Ça le tient, faut croire ! Ce qu’il s’est passé, c’est qu’à force de chercher où je pouvais bien en cacher la clef, il a fini par en trouver une. Sauf que c’était pas la bonne. Et qu’il l’a coincée dans la serrure. À la scie à métaux j’ai dû y aller pour le dégager.
- Ce qu’il aurait mérité…
- C’est que tu lui arraches carrément le morceau, oui !
- Ce qu’il y a de sûr, c’est qu’après ça, je suis pas près de le laisser se soulager. Alors là, il va attendre un moment !
Oui, oh, ben, Mélusine, elle, elle regrettait pas d’avoir laissé son Damien aller voir ailleurs.
- Il m’en est revenu complètement apaisé. C’en est même au point que maintenant je peux le laisser aller et venir sans sa cage. Il y a que la nuit. Parce que la nuit, à être couchés comme ça dans le même lit, ça le rattrape. Faut qu’il me harcèle. Même que j’en sois pas. Mais le reste du temps, ça va. Il me fiche la paix. Alors tu peux être tranquille que je vais l’y renvoyer se purger là-bas. Et sans tarder.
Elles ont échangé, Christine et elle, un long regard de connivence. Quand elles ont été parties, il a voulu savoir.
- Elles sont au courant pour moi ?
- Au courant de quoi ?
- Ben, pour le truc, là, que tu m’as mis.
- À ton avis ?
Il n’a pas insisté.
- On a encore sonné.
- Ah, cette fois, c’est mon amant.
- Ton am…
- Ben oui, comme je t’ai dit, contrairement à toi, j’ai rien à cacher, moi. Rien du tout.
Et elle a fait entrer Damien.
- La première chose…
Elle lui a ouvert son pantalon, l’a sorti de sa cage.
- Merci.
Elle a ri.
- Elle en veut, la bébête, là, on dirait… Viens !
Sur le canapé. Où ils se sont blottis l’un contre l’autre. Où elle lui a caressé sa queue. Où il a glissé sa main sous sa robe. Alexandre a pris la direction de la terrasse. Elle lui a crié.
- Oh, mais tu peux rester, hein, si tu veux…
Il ne l’a pas fait.
Fou d’impatience, Damien lui a arraché sa robe, son soutien-gorge, sa culotte, l’a submergée de baisers. Partout. Dans le cou. Sur les seins. Sur le ventre. Sur la chatte. Elle l’a imploré.
- Maintenant ! Mets-la-moi ! Maintenant ! Maintenant !
Et elle l’a eue en elle. Elle s’est abandonnée. Il l’a pilonnée. Elle a fermé les yeux. Elle a éperdument mugi son plaisir. Quand elle les a rouverts, Alexandre était revenu. Penché au-dessus d’eux, il les regardait.
- Ça te passionne, on dirait.
Ils ont recommencé. Et il a à nouveau regardé. De plus près encore. Le souffle court, la pomme d’Adam en folie. Il a supplié.
- Enlève-la-moi, la cage !
- Non !
Et elle a encore laissé déferler sa jouissance.
Elle ne la lui a retirée que lorsque Damien a été parti.
- Là !
Il se l’est aussitôt prise en mains. S’est mis à se la branler. Avec infiniment de détermination. Elle a ri.
- Ah, ça t’a plu, ça, hein, de voir ta femme se faire sauter par un autre.
Il n’a pas répondu. Plus vite. Encore plus vite.
- Comment il m’a fait jouir, t’as vu ça ! Ce pied que j’ai pris ! Bien plus qu’avec toi ! C’est même pas comparable. Il s’y prend mille fois mieux. Et puis sa queue, c’est quand même autre chose que la tienne, sa queue. Comment elle me remplit bien !
Il a giclé. Dans un grand râle. Elle a encore ri.
- Ce que je me demande, c’est ce que j’ai bien pu lui trouver. Ce qu’elles peuvent bien lui trouver, tes greluches. Parce que franchement, ça casse pas trois pattes à un canard avec toi. Remarque : elles n’auront plus à se poser la question. Parce que c’est fini toi, maintenant, avec elles. Avec toutes. Et même avec moi. Faudra que tu te contentes de me regarder me faire enfiler par Damien. Et par d’autres. Par beaucoup d’autres. Parce que chacun son tour, hein ! Et j’ai sacrément du retard à rattraper. Alors ça va y aller ! Je peux te dire que ça va y aller…
Il s’est remis à bander.
- Eh, mais c’est une perspective qui ne te déplaît pas, on dirait… Oh, mais je suis bonne fille : je te l’enlèverai, la cage, quand je baiserai avec un autre. Que tu puisses te faire du bien en nous regardant. Mais pas toujours. Pas tout le temps. Uniquement quand tu l’auras mérité.
Il s’est cabré. Et il a encore joui.
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